Il y a un an quand je mettais rendu aux quatre vents, j'avais été arrêtée par la couverture de ce livre et le petit extrait. Je ne m'étais pas décidée à le lire car j'en avais encore dans "ma boite à lire". Je suis allée à la bibliothèque de la base aérienne et j'ai pu le trouver avec un tas de livres en attente du rangement de la rentrée avec entre autre les romans de Kundera. J'ai craqué...
J'ai été séduite par la couture et l'idée de recoudre les âmes qui ont perdu leur ombre et magnifier le corps des femmes par une valse de fils magiques mais je n'ai malheureusement trouvé aucune magie dans ce roman. L'idée était envoûtante mais décidément non, je n'ai pas trouvé le rêve ni la réflexion que je recherche dans cette lecture.
Ce que j'ai retenu et ce que je fais partager est que nous pouvons avoir un don souvent "de soi" mais qui peut nous desservir. Malgré tout nous sommes faites pour le don et je fais partie de cette part.
Je voltige effectivement autour des étales colorés des marchés : en haut, en bas, partout mes yeux pétillent d'étoiles et d'imagination en présence de tissus.
La ronde des couleurs pour faire jaillir la pensée créatrice et qui sait les mains pour les créer.
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